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Ce que l’histoire nous apprend au fil du temps, est qu’elle est forgée par ceux qui n’ont pas peur de mourir pour une cause, ni de se battre contre l’injustice.
Il suffit alors qu’un seul homme se dresse pour que le peuple se lève à son tour et c’est à ce moment-là que tout devient possible.
Quel est le sens de la vie ?
Une question que de plus en plus de gens se posent et ignorent encore, la réponse.
Certaines incarnations, notamment des initiés, ont tenté de révéler ce secret occulté soigneusement par des oligarques.
Le dernier fils des dieux est l’histoire d’un de ces initiés ayant vécu dans un temps lointain.
Tout se passe bien avant Jésus Christ dans le nord-est de l’Afrique.
Un jeune homme dont sa condition de prince cadet n’est pas destiné à devenir Roi, sera pourtant le souverain de l’empire Khem, comme il se nommait avant qu’on décide de le rebaptiser Égypte.
Mais déjà à cette époque c’est la peur qui règne dans le cœur du peuple, une peur entretenue par un clergé dominant depuis des siècles et avide de remplir ses coffres.
Étant trop dépendant de ces puissants prêtres, la royauté perd de plus en plus de son autorité.
Ce clergé règne sur tous les gros commerces et endoctrine la population dans ses temples.
Commerces, manipulation, cela commence à vous parler ?
Cette histoire est vieille de 3300 ans et pourtant le fonctionnement reste le même, un groupe d’hommes dans l’ombre possède le pouvoir.
Amenhotep IV qui devient plus tard Akhenaton, va tenter de changer le cours des choses.
Certains diront qu’il a échoué et pourtant n’est-il pas le précurseur d’une vision de paix, qu’un lointain Pharaon mystique nous a laissé en héritage ?
Derrière tout grand homme il y a une femme, et là elle n’est autre que Néfertiti.